AGILLA Properties, c’est avant tout l’histoire d’un copropriétaire, un homme engagé dans sa propre résidence.

Durant 14 ans, j’ai observé le fonctionnement de différents syndics de la place. J’ai exercé différents rôles à côté des syndics d’immeubles, contrôleur des actions ou plutôt des inactions effectuées, commissaire aux comptes, président du conseil de copropriété.
De mon investissement dans ma copropriété, que ressort-il comme constat ?
- Pas ou peu de soutien face aux problèmes rencontrés dans la résidence malgré des rappels.
- Réactivité des syndics très faible par rapport aux demandes d’exécution de travaux (sans rappel, certains travaux sont exécutés 6 mois après l’introduction d’une demande d’intervention).
- Aucune prise d’initiatives, de propositions, d’anticipations des travaux pour assurer une bonne maintenance des communs dans une résidence et à long terme une valorisation du bien.
- Opacité des comptes financiers : pas d’explication simple aux copropriétaires. Ces derniers se focalisent le plus souvent sur le montant élevé à payer.
- Compréhension des problématiques très éloignée de la réalité du terrain : approche dans un bureau sans jamais se déplacer dans les résidences (pas d’audit systématique avec prise de vues).
- Pas de réelle analyse des offres faites par les fournisseurs (corps de métier, …) pas de comparaison des offres concurrentes. L’offre présentant le meilleur rapport qualité prix n’est pas nécessairement choisie.
- Pas de vérification des travaux réalisés sur le terrain.
- Pas de vérification de la véracité des factures par rapport aux travaux exécutés. Le syndic paie toutes les factures entrantes sans approche critique dans l’intérêt de la copropriété.
- Pas de budget annuel préparé et réfléchi tenant compte des investissements à consentir. Dès lors après une année, les suppléments à payer sont monnaie courante et sources de frustration, d’incompréhension. Une distance et un renforcement du côté nébuleux du rôle du syndic en sont les conséquences.
- Communication faible ou inexistante, non régulière. « Grande Messe annuelle » lors de l’Assemblée Générale puis c’est tout.
- Résidents locataires jamais intégrés dans la gestion globale de la résidence.
- Le rôle du syndic n’est pas bien compris par les copropriétaires. La perception du métier est mauvaise. Les copropriétaires observent uniquement les charges trimestrielles à payer sans véritablement avoir une vue sur les travaux réalisés et sur le travail réalisé par ce dernier. Ces honoraires sont souvent jugés déraisonnables pour ce qu’il fait.
Vu la qualité de services très moyenne rencontrée, j’ai décidé d’apporter mon regard, mon expertise, mes idées, mes compétences afin de moderniser ce métier tant décrié.
Je suis licencié et maître en sciences de gestion de l’Université de Namur. J’ai travaillé pendant 17 années dans le secteur bancaire. D’abord dans le réseau d’agences puis au siège central de différents établissements belges et étrangers (Banque Nagelmackers, HSBC, Puilaetco Dewaay Private Bankers) où j’étais manager d’une équipe comptable et fiscale. Je suis également coach certifié car je crois en l’évolution des talents et des destinées des hommes.
De l’investissement mobilier à l’investissement immobilier, il n’y a qu’un pas. Ce défi j’ai décidé de le relever. L’immobilier est un domaine passionnant, aux multiples facettes (techniques, fiscales, psychologiques, juridiques et financières).
J’ai également suivi une formation spécifique de syndic à l’IFAPME à Liège. Je suis régulièrement des formations organisées par l’IPI, le CEFIM et autres organisations. Je gère actuellement différentes résidences sur Bruxelles.
Impliqué dans différentes associations et projets depuis de nombreuses années, j’apporte beaucoup d’importance aux valeurs suivantes :
- L’ENGAGEMENT
- LE RESPECT
- LA CONSTRUCTION (réalisation)
- LA CONGRUENCE
- LE COLLECTIF
Je place l’expérience clients au cœur de mes préoccupations.
Au plaisir de faire votre connaissance et qui sait de travailler prochainement ensemble pour mieux valoriser votre patrimoine en copropriété.
Christophe Jouniaux